samedi 24 mars 2012

Merci le KAP Délices !

Ecrit par le groupe LFRAN3011 (Etats-Unis, niveau A1)


Salut, Merci pour le cours de cuisine belge lundi. Nous aimons les gaufres. Merci pour la bière aussi. Nous aimons beaucoup les frites. Nous nous faisons des nouveaux amis.
A plus tard !

Mc Intyre & Jamie



Bonjour,


Merci pour votre aide lundi soir. Nous aimons toute la nourriture. C'était délicieux ! Enchantés de faire votre connaissance ! Merci, nous espérons vous voir encore !

Robert, Patrick & Chelsea


Cher KAP Délices,
Merci beaucoup pour le repas et pour nous aider à faire la cuisine délicieuse. Nous avons aimé la sauce avec les boulettes de viande. C'était très amusant. Nous avons adoré les frites et les gaufres. Nous sommes désolés que nous ne pouvions pas prendre un verre avec vous après. Santé !
Les étudiants américains


Bonjour !


Merci pour le délicieux dîner de lundi. J'aime beaucoup les frites. Les boulettes de viande sont très bonnes aussi. C'était amusant. Nous avons passé un bon moment.

Penn & Hillary

vendredi 16 mars 2012

Le héros

écrit par Gabriel Garrido (Espagne, niveau B2)

Aujourd’hui, nous avons une image des héros très stéréotypée par la télévision et les B.D. Mais autour de nous il y a des héros plus grands que ceux-là. Alfredo est un bon exemple.
Alfredo se réveille tous les jours à 6 h. de l’après-midi.
Est-il un guindailleur  qui est sorti hier ? Pas du tout.
Il travaille pendant la nuit. Mais Alfredo n’a pas fait toujours ce travail.

Alfredo est né à Madrid, il a beaucoup étudié parce qu’il voulait être un homme productif, avec un bon travail. Il avait cherché une femme pendant longtemps, et enfin, il l’avait trouvée, et ensemble ils ont élevé deux jolis enfants.
Sa vie continuait paisiblement, mais les temps changeaient, et le bonheur économique avait disparu, donc Alfredo a été licencié.(il faut faire attention à la concordance des temps)
Avec deux enfants et une femme à nourrir, partir à la retraite  à 50 ans n’était pas une option : « Il faut que je rapporte l’argent à la maison. »

Il a commencé à chercher un emploi, comme quand il était jeune.
« J’ai essayé de travailler dans tous les travails possibles et  imaginables : chef, administrateur dans une entreprise, secrétaire, coiffeur… Rien. Aujourd’hui, avec cette crise, personne n’a besoin d’un travailleur en plus ».
Après cinq mois sans un salaire pour sa famille, Alfredo a trouvé un emploi pour lui. Dès lors, il s’habille tous les soirs, prend le camion et commence à faire de sa ville un endroit plus propre.
« J’ai eu cinq hommes sous mes ordres dans mon premier travail, et aujourd’hui je suis le dernier subordonné ; j’ai passé presque tous les soirs chez moi avec ma famille, et aujourd’hui je suis, soit endormi, soit en train de travailler. Mais il faut, il faut… »

Les héros ne sont pas toujours dans un déguisement de couleurs, avec une cape, et ils ne conduisent pas toujours une grande et élégante voiture, et ils n’ont pas toujours des superpouvoirs. Beaucoup d’autres ont par exemple un costume voyant, et ils marchent accrochés à un camion qui pue.
Ce sont les véritables héros d’aujourd’hui.

L'héroïsme

 écrit par Fan Kao (Taïwan, niveau B2)

Dans le monde de la littérature, il existe toutes sortes de héros. Les jeunes ou les enfants qui sauvent le monde de la méchanceté, les individus qui se battent contre la corruption ou les préjugés. Décidément, nous avons besoin d'héroïsme comme nos coeurs ont envie d'aventure et de romance. La presse s'occupe également de créer les nouveaux héros et héroïnes à chaque minute: le pompier courageux, l'enseignant dévoué ou la mère dans le deuil. Toutefois, en dépit de fait qu'on est souvent facilement touché par ces histoires, on a rarement réfléchi sur le sens de l'héroïsme. Qu'est-ce qui remplit nos yeux de larmes ? Qu'est-ce qui brûle dans la poitrine et nous encourage peut-être à devenir une meilleure personne?

Quand j'étais petite, j'adorais un personnage fictif qui avait la rapidité, la puissance et un coeur d'or. Il vivait une vie insouciante, sauvait toujours les bons et punissait les méchants, mais ne demandait rien en retour. Pour la jeune, naïve enfant que j'étais, la définition de l'héroïsme est simple: être indépendant, être capable de vivre librement et de faire ce qu'on pense.

Après quelques années, j’ai suffisamment vieilli pour comprendre que le monde n'était pas noir et blanc. Mon héros a finalement perdu de son charme. Le poids de la vie est devenu de plus en plus lourd, il était, comme ce que les gens disent, puéril de tenir encore à l'idée de l'héroïsme.

Un jour, je regarde un match de football à la télé. Avant le début du match, les joueurs restent debout en silence sur le terrain pour porter le deuil d'un jeune manager qui s'est suicidé récemment. Son meilleur ami, un footballeur qui avait 31 ans et qui était dans les dernières années de sa carrière d’athlète, pleure devant des millions de spectateurs à cause de la douleur. C'est un moment extrêmement touchant, les gens se demandent si le décès de son ami intime affectera le joueur. Cependant, le joueur donne son meilleur pour l'équipe. J'éclate en sanglots le moment il marque. Je suis sûr qu'il est un héros pour moi.

Je me demande de nombreuses fois : qu'est-ce qui fait de ce joueur un héros? La réponse est tout simple et cliché, son courage. La naissance, la vieillesse, la maladie et la mort, il faut avoir tant de courage pour se confronter à toutes les vicissitudes de notre vie quotidienne. "Il n'y a qu'un héroïsme au monde: c'est de voir le monde tel qu'il est et de l'aimer." dit Romain Roland. L'amertume et la complicité de la vie peuvent casser notre croyance, mais elles ne nous arrêtent pas de chercher la conviction. Dans le cas de l’héroïsme, si on en a besoin, on finit par le trouver.

Nouvelle rencontre à Louvain-la-Neuve

écrit par Liping Huang (niveau A1)
C’est un dialogue entre moi et  un nouvel ami à Louvain-la-Neuve .  Nous nous sommes rencontrés à un événement  de dégustation de bière.
Lui : Bonsoir. Comment ça va ?
Moi : ça va bien, merci. Et toi ?
Lui : Bien, merci. Comment tu t’appelles?
Moi : Liping. Et toi ?
Lui : Pedro. D’où tu viens?
Moi : Je viens de  Chine. Et toi ?
Lui : Je viens du  Mexique.
Moi : Ah, je parle espagnol aussi. J’ai vécu en Espagne pendant un an.
Lui : Comme c’est intéressant. Que âge tu as ?
Moi : J’ai vingt-six ans. Et toi ?
Lui : J’ai vingt et un ans.  Qu’est-ce que tu étudies ?
Moi : Le management. Et toi ?
Lui : J’étudie le management aussi. Qu’est-ce que tu fais dans tes temps libres ?
Moi : J’aime voyager, faire de l’exercice et  regarder des films. Et toi ?
Lui : J’aime écouter de la musique et cuisiner. Quel pays tu préfères ? 
Moi : J’aime la Chine pour la cuisine et l’Espagne pour les gens.
Lui : Tu vas souvent  en Espagne?
Moi : Oui, chaque fois que j'ai le temps. Mes amis me manquent.
Lui : Tu aimes bien la musique espagnole ?
Moi : Oui. J’aime aussi la musique pop americaine.
Lui : Trois mots pour te décrire ?
Moi : Heureuse, gentille, amusante.

vendredi 2 mars 2012

Mon pays : le Canada

Ecrit par Elena Matters (Canada, niveau A1)

Salut! Je m’appelle Elena et je suis une étudiante de doctorat en sciences de l’environnement. Je viens du Canada. Voici quelques chiffres intéressants sur le Canada :
- Le Canada compte six fuseaux horaires.
- Le Québec produit 90 pour cent du sirop d’érable canadien.
- La frontière entre le Canada et les États-Unis est de 8892 kilomètres ; c’est la plus longue frontière au monde.
- Le Canada est le neuvième pays le plus faiblement peuplé dans le monde ; avec 3.3 personnes par kilomètre carré.
- Le Canada a 42 parcs nationaux qui couvrent une superficie de 303 571 kilomètres carrés, et qui sont conçus pour protéger l’environnement naturel.

Le Canada est connu pour ses hivers froids et enneigés.



Photo prise par moi à Calgary, Alberta.


Les magnifiques montagnes Rocheuses sont situées dans l'Ouest du Canada.


Photo prise par moi à Banff, Alberta.


J’adore le Canada parce que c’est un pays avec beaucoup de beauté naturelle. Pourquoi ne pas visiter le Canada pour vos prochaines vacances ?