vendredi 9 décembre 2011

Une fois de plus (logo-rallye)

Ecrit par Katharina Rank (Allemande, LFRAN1405, objectif B2)

Une fois de plus je sors, un jour nouveau, mais ce n'est qu'un autre jour avec toujours la même quête pour mon pain.


Roger Somville, Le clochard d'Avignon ou la nuit du chien


Je pars à l'aube, encore dans l'obscurité. Puis le soleil se lève et ses premiers rayons éclairent mon chemin. Sa lumière m'encourage à continuer mon errance à travers la foule des hommes sur les quais de la gare. Ils sont comme des arbres. Attente immobile, leur regard vide, indifférent.

Au milieu d'eux une vieille femme, petite, avec un visage tout ridé et des vêtements vieillots, saupoudrés. Elle m'offre un sourire, un petit sachet de pralines et s'en va sans aucun mot.

Je continue ma quête, ma lutte quotidienne jusqu'au soir où je m'assoupis dans un coin du hall de la gare.

Au moment du réveil une question me tourmente. La rencontre avec la dame au regard lumineux, est-ce que c'était qu'un rêve ?

Au fond de ma poche je trouve une petite ficelle qui fermait le sachet de pralines.

Je la garde précieusement.

Interview de Natalie, la responsable d’Apides-ASBL.

réalisé par Shambhu et Cécilia (groupe LFRAN 1301, Objectif B1)


Introduction : L’Apides-ASBL est une activité sociale financé par le Région Wallonne. Madame Natalie est la responsable de cet organisation de Louvain la Neuve. Cela a établé en novembre 2008. C’est vraiment de la formation a une publique plus féminin. C’est une école mais concrète. C’est situé juste à Terrasse des Ardennais, Louvain la Neuve.

Pendant l’interview, nous avons demandé quelques questions spécifiques á madame Natalie sur son avis de la vie quotidienne et sur ses activités à Louvain-la-Neuve.

 Nous vous présentons un sommaire de l’interview

Sur la vie quotidienne à Louvain-la-Neuve :
Elle nous a dit que :
Elle est née à quatre kilomètres de LLN et elle a grandi avec LLN dans les travaux, donc elle est un enfant de Louvain-la-Neuve. Elle a  connu le bulldozer de Louvain-la Neuve et voilà elle a connu la première boutique, la première rue, les premières étudiants. Donc, elle est chez elle. Elle habite dans le centre d’Ottignies et de Louvain-la Neuve. Elle est vraiment contente de venir pour travailler à Louvain-la-Neuve. Elle croit qu’elle peut voir l’évolution de l’ambiance à Louvain-la-Neuve,  mais elle pense que les week-ends sont tristes parce qu’il n’y a pas de personne, les étudiants rentrée à la maison, tout est ferme. C’est devenu de plus en plus une ville qui repese toutes les nationalités de tous les âges. Mais, malheureusement, elle trouve qu’il y a un peu trop d’alcool.

Leur réponse sur les activités dans cet organisation :
Elle pense que il y a plein de sources de motivation, comme récupérer des vêtements qui vont aller à la poubelle et de donner des services pour le gens qui veulent acheter pas cher. Elle vend tous les type de vêtements, pour les hommes, les enfants, des lignes pour la maison, les drapeaux du lit, les chaussures. Elle nous a dit que les vêtements sont moins chers parce que ils sont de seconde main, ils ont déjà utilisé, ils ne sont pas neuf. Elle ne prend pas de profit, c’est juste pour payer le loyer, l’électricité et  de l’eau.

On a aussi demandé leur employée et elle nous a dit qu’elle est très contente de travailler dans l’organisation.

Le conseil qu’elle donne a les gens en général c’est : « Qu’ils viennent acheter chez nous, apprendre chez nous et qu’ils viennent s’amuser a Louvain-la-Neuve. »

Merci,

Shambhu et Cecilia

vendredi 2 décembre 2011

L'héroïsme ordinaire

écrit par Jessica Young (Néo-zélandaise, LFRAN1401, Objectif B2)
Il gît à plat ventre. Il n’y a aucun bruit, sauf la respiration profonde des autres. Il n’est que six heures le matin, ce sera une très longue journée comme toutes les autres ; mais aucune journée n’est la même que la précédente. On ne sait jamais à quoi s’attendre. De temps en temps, il pense que peut-être ce serait mieux de vivre au jour le jour, de ne pas avoir trop d’espérances.
Il est entouré de ses camarades, qui sont tous dans la même position que lui. Personne ne bouge. Il a le doigt sur la gâchette de son lourd fusil, mais il n’a pas le désir de la presser. L’après-midi, il se traîne par terre dans les marécages boueux avec les vêtements trempés et pesants. Il a mal aux pieds car il n’a pas eu l’occasion de changer de chaussettes depuis huit jours.
Aujourd’hui, comme la veille, était une journée horrible. Il a vu tomber autour de lui de nombreux camarades ; les ennemis ont bombardé partout. Il ne pouvait rien faire ; en plus il a dû les laisser afin de s’enfuir et de trouver une cachette. Plus tard, il a trouvé le plus grand coquelicot du champ pour le placer sur le corps d’un ami. Il n’a pas fermé l’œil de la nuit, à force d’entendre le bruit continu de la mitraille. Il a peur tout le temps, mais il est courageux, et il faut continuer jusqu’à la fin de cette guerre déroutante.
Il n’est pas un homme, ni un militaire de carrière, il n’est qu’un garçon de dix-sept ans qui s’est engagé pour lutter pour son pays.  Chez lui, sa mère s’inquiète chaque minute, et il manque à sa sœur de dix ans qui ne comprend pas la raison pour laquelle il est à l’étranger. Il y a deux mois il avait joué aux cartes avec elle, et lui avait raconté des plaisanteries pour la faire rire. Elles lui manquent encore plus.
Je ne connais pas son nom, ni son histoire. Il ne me connaît pas non plus, mais il a combattu pour moi. Il a lutté pour mon pays, un pays qui n’est pas le sien en risquant de mourir. C’est un héros, comme d’autres qui ont œuvré pour la liberté et pour nos droits. Ils étaient parfois solitaires, mais ils ont fait preuve de solidarité, confrontés à des situations périlleuses à chaque minute.
Il a fait des actes héroïques quotidiennement, en soutenant ses camarades, en travaillant sans penser à lui-même, en ne renonçant jamais. Je me souviendrai toujours de lui ; l’homme qui a été sacrifié à l’illusion que la guerre peut mettre fin à la guerre.

Les Anges de la Boue

écrit par Tommaso De Zan (Italien, LFRAN1401, Objectif B2)
Le mardi 4 novembre 2011 dernier demeurera dans l’histoire de Gênes l’un des jours les plus tragiques de sa longue et merveilleuse histoire. Une inondation jamais vue a atteint la ville la plus grande de la Ligurie et l’a transformée en enfer. En regardant les images à la télévision ou sur internet, je ne suis pas arrivé à reconnaître la ville où se trouve l’un des plus beaux aquariums du monde. La beauté de ses monuments, la particularité de ses petites ruelles et la majesté de son port, tout est submergé par des litres et des litres d’eau. C’est exactement l’eau, réseau d’inestimable valeur pour la Ligurie et pour Gênes en particulier, qui le 4 novembre a décidé de trahir son alliée naturelle. Le bilan de l’inondation, qui ne frappe pas seulement la ville mais toute la Ligurie en général, est désolant: seize morts, dont six habitaient dans la même rue qu’une de mes copines  Erasmus, Elena.
 
Elle est rentrée chez elle le weekend de l’inondation puisqu’elle voulait fêter son anniversaire avec sa famille et ses meilleurs amis. De tout son weekend, elle a obtenu qu’une pizza et une tarte avec sa sœur et sa meilleure amie parce qu’elle n’a jamais réussi à arriver à Gênes. C’est mieux que rien, mais les attentes d’un weekend en Italie étaient clairement différentes.  Parfois le destin décide de se moquer de toi et devient plus cruel qu’un ami qui te laisse tomber. La voir avec le souris le lundi après son retour m’a complètement choqué. Si j’avais été elle, j’aurais invectivé contre tout le monde. Mais je ne veux pas parler seulement d’Elena, même si par son esprit et force de volonté je l’ai considérée comme une sorte d’héroïne.
  De toute façon, ce qui m’a le plus étonné pendant ces jours ont été les figures des Anges de la Boue. Qui sont-ils ces Anges? Ce sont des garçons et des filles tout à fait normaux qui étudient ou travaillent régulièrement à Gênes. Lorsqu’ils ont vu la catastrophe qui a déchiré leur ville, ils ont décidé de descendre dans la rue et de commencer à déblayer toute la Boue répandue. Ils ont travaillé durant six ou sept heures par jour, sans évidemment être payés, ou sans obtenir de crédits  par leurs facultés. Ils voulaient seulement aider leur ville et ses citoyens. Ces garçons et filles sont ceux de la génération facebook (la mienne), accusés et maltraités par les adultes et les medias. On nous accuse de rester toujours devant l’ordinateur et vivre dans un monde d’apparences et de superficialités. On nous accuse d’être fainéant ou « bamboccioni » si bien qu’on demeure à la maison jusqu’à trente ans parce qu’on ne veut pas quitter ses commodités. Mais en même, on ne parle pas de taux de chômage chez le jeunes qui est parmi les plus élevés d’Europe (29%) et les règles dans le marché du travail qui empêchent une juste compétition entre générations. C’est vrai qu’on a beaucoup de fautes à ce propos. Souvent on n’est pas des bourreaux de travail et on essaye de trouver des raccourcis. L’université chez nous n’est pas envisagée comme un endroit de formation, mais plutôt comme une période de vacance de trois ou cinq ans.  Un jour j’étais en train de parler avec une fille de Gênes à l’égard de l’université. Elle était un an et trois mois en retard sur son Baccalauréat. Je lui ai demandé pourquoi elle était si en retard. J’ai pensé que c’était une question normale et légitime. Elle m’a répondu, très fâchée, que j’étais vraiment désagréable. Celle-ci est la mentalité italienne.
   Mais, en même temps, notre génération est capable de gestes comme ceux des Anges. L’action de ces jeunes a été spontanée et naturelle. Ils se sont organisés à travers facebook, le moyen contesté et mal compris par les adultes. Ces jeunes ont démontré que l’Italie, même si elle demeure « un pays pour les personnes âgées », ne peut et ne doit pas nous considérer comme la cinquième roue du carrosse. Nous sommes un réseau indispensable et nous pouvons le démontrer.
  Gênes a bien compris l’importance de l’action des Anges. Durant deux ou trois jours la ville était pleine d’enseignes lumineuses: « Gênes remercie les Anges de la boue ». Un petit geste, sûrement apprécié par ces garçons et ces filles qui se sont efforcés rendre moins dramatique l’enfer de la semaine passée. L’action des Anges a redonné un peu d’espérance à un pays épuisé et paradoxalement cette action concrète provient de personnes accusées de vivre dans le monde digital et irréel de la toile. Tout ceci s’est passé pendant que les adultes s’insultaient au Parlement et n’arrivaient pas à s’accorder quant à une solution concrète en faveur de l’intérêt national, nonobstant la crise économique. C’est aussi grâce à l’action de ces jeunes qu’éventuellement l’Italie deviendra un jour « un pays pour les vieilles et les jeunes générations aussi».

mardi 22 novembre 2011

Le grand-père de ma petite amie, ce héros


écrit par Charles Junghanns (Allemand, cours LFRAN1401, Objectif B2)

Chère rédaction,


Mon copain m'a dit que vous cherchiez des temoignages de personnes héroϊques. Je crois que je connais une telle personne et je souhaite vous en parler.


Le grand-père de ma petite amie s'appelle Herbert Marten et il a 80 ans. Malgré son âge, il est très agile. Il fait du sport plusieurs fois par semaine, joue du synthé et travaille beaucoup dans le jardin.
Mais il y a aussi des choses que j'ai apprises très récemment. Herbert est un héros.

Il y a environ 60 ans, Herbert et sa femme, Hannelore, ont emménagé dans leur premier appartement. Leur salle de bain était équipée d'un chauffe-eau au gaz. Un soir, Hannelore prenait un bain. Après une journée stressante, elle se réjouissait de prendre un long bain relaxant. Pendant ce bain, elle s'endormit et ne fit pas attention au feu nécessaire pour chauffer l'eau. Comme ça, elle ne vit pas que le feu s'était éteint. Sans fenêtre, le gaz s'accumulait. Après quelque temps, Herbert se demanda pourquoi Hannelore était toujours dans la salle de bain. Il l'appela plusieurs fois mais elle ne répondit pas. Bien sur, il commenca à se faire du souci. Enfin, il força la porte et trouva sa femme inconsciente dans la baignoire. Immédiatement, il sentit le gaz et évacua sa femme le plus rapidement possible. Après quelques minutes, Hannelore se reveilla et le docteur appelé ne lui trouva pas de séquelles. En plus, ils avaient vraiment eu de la chance dans leur malheur, que l'appartement n'ait pas explosé.

Quelques années plus tard, Herbert se promenait au bord du Rhin. Il faisait beau et beaucoup de gens se baignaient et rigolaient. Il profitait du soleil quand il vit quelque chose d'étrange. Au milieu du fleuve, il vit se former des remous à cause d'un courant fort. Cela lui sembla très dangereux. Et quand il vit deux garçons qui nageaient vers ce point, il leur signala de ne pas avancer, mais ils ne l'entendirent pas. Apparemment, personne ne les avait aperçus, donc quand le premier garçon fût happé par le courant, Herbert sut qu'il devait sauter dans le fleuve pour les sauver. Rapidement, il put sauver le premier garcon mais après qu'il l'eût ramené au bord, l'autre garcon avait encore plus dérivé. Après 20 minutes, tous les trois se retrouvaient sur la rive. Entre-temps, les spectateurs avaient appelé une ambulance. Il ne fallut pas longtemps avant que les journalistes n'arrivent, mais à ce moment-là, Herbert avait déjà disparu.

Nonobstant, Herbert vaut un reportage, car il a sauvé la vie à trois personnes. J'espère que vous pensez la même chose.



Cordialement,


Charles Junghanns

lundi 21 novembre 2011

Un héros italien: Paolo Borsellino.

écrit par Michele Ruggeri (Italie, cours LFRAN1401, Objectif B2)
Paolo Borsellino
Aujourd’hui, je voudrais vous parler d’un homme qui, selon moi, a été un vrai héros. Le personnage dont je voudrais vous parler s’appellait Paolo Borsellino. Il était magistrat et il enquêtait sur des crimes de mafia en Sicile.
Beaucoup de magistrats se sont occupés de mafia en Italie, mais la raison pour laquelle je pense que Borsellino fut un magistrat complètement spécial, c’est qu’il fut le premier (avec Giovanni Falcone, un autre magistrat anti-mafia) à promouvoir une collaboration totale entre tous les magistrats qui s’occupaient de mafia. Cette collaboration et la création du célèbre (en Italie) pool antimafia au long des années 80 a contribué énormément à améliorer la connaissance des autorités italiennes sur la structure et la manière de procéder de la mafia, qui jusqu’à alors était insignifiante.
En 1987 le pool antimafia vit ses hypothèses sur la structure de la mafia confirmées lors de la conclusion du “maxi-procès” à la mafia sicilienne: un total de 19 condamnations à perpétuité et 2665 ans de prison furent infligés par les juges aux accusés de mafia. Ce procès fut un événement historique dans l’histoire de la lutte au crime organisé: c’était la première fois que de si nombreux adhérents de la mafia étaient condamnés. C’était aussi la première fois que les autorités italiennes commençaient à comprendre la vraie structure et organisation de la mafia, en montrant qu’il ne s’agissait pas d’un ensemble inorganisé de groupes et de familles. Il s’agissait au contraire d’une organisation avec une structure pyramidale bien consolidée, contrôlant le territoire sicilien fermement.
Malgré ce succès, Borsellino dut se confronter aussi contre l’opposition d’autres magistrats anti-mafia qui l’accusaient de « rendre la lutte contre la mafia trop spectaculaire ». En fait Borsellino avait publiquement critiqué la décision par le Conseil Supérieur de la Magistrature de ne pas nominer Giovanni Falcone comme chef du pool antimafia, en soutenant que cette décision mettrait la continuité des enquêtes en danger. Mais, courageusement, il décida de continuer ses enquêtes avec une nouvelle équipe de procureurs : en particulier, il commença à enquêter sur les rapports entre la mafia et des politiciens locaux et nationaux, et aussi sur l’infiltration de la mafia dans les régions du Nord de l’Italie.
Malheureusement la mafia réagit à cette attaque. Le 19 mai 1992 Giovanni Falcone fut tué dans un terrible attentat : pendant qu’il rentrait à Palermo en voiture une charge explosive détruit l’autoroute, en tuant Falcone et sa femme. Le meurtre de son ami et collègue eut un effet terrible sur Paolo Borsellino qui quand même continuait ses enquêtes, tout en savant que le prochain objectif serait lui. Lors de la commémoration de Giovanni Falcone qui eut lieu quelques jours après l’attentat, il dit, en indiquant le cercueil du magistrat : « Ceux qui veulent quitter la  vie du procureur anti-mafia, qu’ils la quittent. Mais que ceux qui veulent rester sachent quel destin nous attend. Notre avenir est celui-là. Celui-là. ».

Le 19 Juillet 1992 Paolo Borsellino fut tué dans un attentat explosif pendant qu’il allait rendre visite à sa mère. Encore aujourd’hui les vrais coupables de son meurtre n’ont pas encore été trouvés. Des enquêtes récentes suggèrent qu’il y aurait la possibilité que le procès original pour le meurtre de Borsellino ait été dépisté.
Borsellino a été un personnage fondamental dans l’histoire récente italienne, et sa vie a inspiré le travail de nombreux procureurs qui ont poursuivi ses enquêtes. Si aujourd’hui la mafia sicilienne en Italie est beaucoup moins puissante que dans les années 80, nous devons remercier Paolo Borsellino et son esprit de sacrifice.

lundi 7 novembre 2011

Visite de Liège, le 28 octobre 2011

écrit par Federica De Pace (Italie, groupe LMUND2002, objectif A1)
Vendredi 28 octobre, nous sommes allés à Liège avec les professeurs de français.
Nous avons pris le train le matin à huit heures trente à la gare de Louvain-la-Neuve et sommes arrivés à Liège-Guillemins à dix heures.
La première chose que nous avons vue, c'est la gare de Liège du célèbre architecte espagnol Calatrava.
(Photo de Andrès Penuela Fernandez)

Puis, nous sommes allés au centre ville voir la Place Saint Lambert, qui est le symbole majeur de la ville. Elle est grande et pleine d'histoire. Nous nous sommes promenés près du Palais des Princes-évêques, qui est actuellement l'emplacement du palais de Justice et nous avons vu les traces de la Cathédrale Notre Dame et Saint Lambert, démolie lors de la Révolution de Liège en 1789.
Après, nous avons vu le thèâtre Opèra de Liège, où à proximité, il y a la statue d'un célèbre musicien belge, qui s'appelle Gretry.

Nous avons acheté un sandwich et nous avons mangé au pub des Dominicains. Après, nous avons visité l'église des Dominicains et nous nous sommes promenés dans la Rue de verre et près du fleuve, la Meuse.
Il a fait beau et ensoleillé.
Nous avons appris que "Tchantches" est une marionnette et la mascotte de la ville.
Puis, nous avons grimpé les escaliers de la Montagne de Bueren pour profiter du panorama et pour prendre des photos.
J'ai adoré la vue de Liège d'en haut.
Nous sommes rentrés à Louvain-la-Neuve à six heures, le soir.

J'ai vraiment apprécié Liège et je veux y retourner!
J'ai trouvé cette gare très moderne et belle.

Visite de Louvain-la-Neuve, le 10 octobre 2011

écrit par Alexandra Morrosch (Allemagne, groupe LMUND2002, objectif A1)


Louvain-la-Neuve est une petite ville en Belgique.
C'est une ville universitaire habitée par des étudiants.
Des étudiants de plus de 120 nationalités se côtoient à Louvain-la-Neuve.




L'architecture est unique et originale.
Louvain-la-Neuve est une ville sans voiture. Les voitures passent sous la ville.
Le centre ville est donc piétonnier et tout est à portée de main.
Des musées, un complexe cinématographique, une médiathèque, une galerie d'expositions, des écoles, des quartiers résidentiels...
La ville est composée de nombreux quartiers, comme les Bruyères, le Blocry (l'Hocaille), la Baraque...


Louvain-la-Neuve est une ville très belle et vivante !

vendredi 4 novembre 2011

Molletes, une recette mexicaine

Ecrit par Rosa del Carmen Luege Mateos (Mexique, groupe LFRAN1301, objectif B1)









Ingrédients:
-1 baguette de pain
-6 tranches de fromage gouda
-500 gr. de haricots
-3 tomates coupées
-1 oignon coupé
-1 bouquet de coriandre coupée
-Autant de Chili jalapeño* coupé en fines tranches que vous voulez
-2 gousses d’ail coupées
-Autant de feuilles entières d’epazote* que vous voulez
-Autant de sel que vous voulez
-Un peu d’huile


Indications:
Pour la sauce:
Vous mélangez les tomates avec ½ oignon, le bouquet de coriandre et le chili.


Pour le plat:
Vous mettez les haricots dans l’eau (faire tremper) la nuit précédent la préparation.
Ensuite, vous cuisez les haricots (dans un autocuiseur ou une cocotte minute) dans l’eau avec l’ail, ½ oignon, les feuilles d’epazote et la quantité de sel que vous voulez. Quand les haricots sont cuits, égoutter l’eau et avec un peu d’huile écraser les haricots.
Vous coupez le pain en nombre des molletes que vous voulez manger, après vous tartinez le pain avec de la pâte d’haricots et vous mettez une tranche de fromage sur chaque morceau de pain. Enfin, vous mettez tous les morceaux dans le four jusqu’à ce que le fromage soit gratiné et le pain craquant.
Vous mettez de la sauce comme vous voulez sur chaque mollete et: “bon appétit”!


(*ingrédients d’origine mexicaine, si vous ne les trouvez pas au magasine pas problème)

Pulao avec Légumes, une recette népalaise

Ecrit par Shambhu Nath Jha (Népal, groupe de LFRAN1301, objectif B1)

Les ingrédients (suffisant pour 10 personnes)










  • 1 kilo de riz
  • 1 kilo de légumes (de votre choix)
  • Un peu de sel
  • 100 ml d'huile
  • Les épices de votre choix
  • ½ kilo de carottes
  • ½ kilo de tomates
    La préparation
    1. Vous mettez le riz dans l’eau froide pendant 30 mins avant de cuisiner.
    2. Vous coupez les légumes à la taille que vous voulez.
    3. Vous mélangez les légumes et le riz.
    4. Vous mettez le riz et les légumes mélangés dans un pot sur le feu, et vous mettez les épices de votre choix et l'huile.
    5. Vous faites frire pendant 10 minutes en mélangeant de temps en temps.
    6. Vous le mettez en cuiseur à riz avec de l'eau proposée par le cuiseur.
    7. Après 30 minutes, c’est prêt à manger.
    8. Bon appétit.

mardi 1 novembre 2011

Souper sans frontière

Ecrit par Stephanie Gerharz (Allemagne, groupe LFRAN 1401, objectif B2)








Le Souper sans frontières a été organisé par le Département de Français de l’ILV le 5 octobre 2011. Cette unique rencontre gastronomique et multiculturelle a lieu au début de l’année scolaire depuis plusieurs années. Tous les étudiants qui suivent des cours de français à l’ILV pouvaient y participer. L’idée principale était que tout le monde, en formant des équipes de trois, prépare un plat ou dessert typique de son pays et le partage avec les autres. Comme cela le souper était un voyage gastronomique au travers de beaucoup de pays.



La soirée fut un vrai succès: les étudiants ont préparé des repas variés. On pouvait par exemple déguster du sushi, des pizzas et des pâtes italiennes, des fromages belges et du Masu Bhat qui est un plat asiatique.



Pour ceux qui n’étaient pas encore rassasiés, il y avait beaucoup de desserts à goûter: du tiramisu, plusieurs gâteaux et des pommes.







Après avoir beaucoup mangé, on a pu apprendre une danse folklorique. À l’aide d’un des kots à projet « Kot et Folk » les étrangers ont reçu des souvenirs de la culture belge. Les étudiants étaient enthousiastes à participer, et en dansant, les cultures différentes se sont mêlées.










Pour ceux qui ne voulaient pas danser, il y avait la possibilité de goûter des thés différents grâce au kot à projet Akosthé qui promeut le thé.



En résumé, la soirée s’est très bien passée: nous avons bien mangé, avons parlé avec des gens de différents pays, en plus nous avons pu échanger des expériences et des espoirs pour le quadrimestre à Louvain-la-Neuve et tout le monde a goûté des repas nouveaux et exotiques.

lundi 26 septembre 2011

Aurevoir Jacqueline

Posté par Emmanuelle Rassart

Après 42 ans à l'ILV, Jacqueline Pairon accède à l'éméritat. Le vendredi 23 septembre, ses collègues et amis lui ont organisé une fête.



L'équipe du département réunie une dernière fois autour de Jacqueline (Nancy est en coulisse)




Jacqueline est fêtée par d'anciens étudiants, en direct...



... et à distance :




Les artistes au contact desquels Jacqueline nourrit sa créativité animent la soirée.



Osvaldo et son "charango", un instrument bolivien

De la part de tous tes anciens étudiants et de l'équipe des professeurs de français : MERCI !


dimanche 25 septembre 2011

Le département de français de l'ILV entre dans la blogosphère

Une nouvelle expérience pédagogique est en route au Département de français de l'ILV : la co-écriture d'un blog.
Nous y publierons les meilleurs textes de nos étudiants et y ferons écho de la vie de notre Département à l'ILV.